1èr récit de Madame Claire,
plein d’autres à venir si vous aimez !
« Accident ».
Belle journée d’automne, assez fraiche, mais avec une belle luminosité.
Je me sens particulièrement en forme, j’aime conduire ma Mini bordeaux, surtout si c’est pour me rendre en « visite », comme c’est le cas aujourd’hui.
Ma valise est rangée dans le coffre, et mon soumis m’attendra dans la position et dans la tenue demandée…
Je conduis rapidement, mais sûrement, je suis généralement considérée comme une bonne conductrice.
Bing !
D’où sort cette BMW blanche? Elle a grillé le feu rouge!
C’est très contrariant.
Un jeune homme affolé sort de la voiture accidentée.
– Vous n’avez rien Madame ?
Je prends le temps d’observer le fautif, grand, mince, tignasse blonde, l’air ahuri, mais plutôt joli garçon, pas plus de 20 ans.
Sa voiture n’a rien à première vue, par contre la mienne…
La portière droite est enfoncée, et la roue avant droite est de guingois.
– Eh bien bravo jeune homme! Dis-je enfin.
– Je suis vraiment désolé Madame, c’est la voiture de ma copine, je n’ai pas l’habitude, …, bon l’essentiel c’est qu’il n’y ait pas de blessés, n’est-ce pas ?
– Sauf que ma voiture est cabossée et inutilisable, on dirait que ça ne te préoccupe pas ça, tu m’as l’air d’un sacré manchot!
– Euh, je suis navré Madame, je ne conduis pas souvent, c’est toujours ma copine qui conduit, elle va être furieuse.
– Oui ça, c’est probable jeune homme, mais c’est ton problème. Comment t’appelles-tu ?
– Nico Madame.
– Bien, moi des problèmes j’en ai au moins deux vois-tu, déjà il va falloir que je fasse réparer ma voiture, ça c’est le premier problème, et le deuxième, c’est que j’ai un rendez-vous important à 1/4 d’heure d’ici, et maintenant je ne vois pas comment je vais m’y rendre.
– Eh bien, souhaitez-Vous que je Vous emmène à Votre rendez-vous Madame ?
– Humm, je ne fais pas trop confiance en tes talents de conducteur,.., et pour rentrer je ferai comment ?
– Je Vous attendrai Madame, pour Vous ramener, si Vous le désirez bien sûr.
– Hum hum, tu m’as l’air d’un garçon bien élevé Nico, c’est ce que tu es ?
– Oui madame, Vous pouvez avoir confiance.
– « Oui Madame » quoi ? Je veux des réponses détaillées, à qui crois-tu t’adresser?
– Oui, pardon Madame, je veux dire, oui Madame, je suis un garçon bien élevé.
– C’est mieux. Bon j’accepte, mais c’est moi qui conduis, donne-moi tes clés
– Euh, mais c’est la voiture de ma copine.
– Donne les clés, tout de suite !
– Oui Madame, voici.
– Récupère ma valise dans le coffre, dépêche-toi.
La BMW, c’est pas mal aussi, je préfère ma Mini, mais je dois dire que ça a de la reprise, et de la tenue de route.
J’ai fait un petit détour pour l’essayer, retard pour retard, mon soumis peut attendre un peu, et puis, il faut que je m’occupe un peu ce jeune arrogant!
D’ailleurs il ne fait pas le malin sur le siège passager.
– Eh bien Nico, qu’y-a-t-il, tu n’aimes pas mon style de conduite ?
– Si Madame, Vous conduisez parfaitement, beaucoup mieux que moi, Vous avez bien fait de prendre le volant, on sent que Vous dominez Votre sujet.
– Je domine toujours mes sujets mon garçon… Parle-moi un peu de ta copine.
– Ma copine, ben elle s’appelle Alicia, et elle a 4 ans de plus que moi.
– C’est à dire ?
– Elle à 24 ans, moi j’en ai 20, je suis encore étudiant, alors qu’elle a un travail, elle est responsable marketing.
– Vous habitez ensemble ?
– Oui, depuis 1 mois. Au début je ne voulais pas, mais elle a insisté, et comme je n’ai pas de revenus, c’est plus facile pour moi, mais elle est assez exigeante.
– Hum, comment ça exigeante ?
– Et bien, elle est assez prise par son travail, du coup, elle veut que je m’occupe de tout à la maison, les courses, le linge, le ménage, la cuisine,
Ça me prend pas mal de temps, en fait, ça me prend tout mon temps libre, et aussi, elle tient à contrôler le budget, vu que c’est elle qui gagne de l’argent, je dois lui présenter toutes les factures.
– Hum humm, intéressant, et sur le plan sexuel ?
– Comment ça Madame, Vous voulez connaitre ma vie sexuelle ?
– Oui Nico, je le veux.
– Ben sur le plan sexuel, je la désire tout le temps, et elle le sait bien, elle en joue, quand j’ai bien fait mon travail, je suis récompensé, sinon, si elle n’est pas satisfaite, elle se refuse, et elle m’interdit de me masturber.
– AU niveau des positions, ça se passe comment ?
– Euh Vous voulez dire quand on fait l’amour ?
– Oui
– Elle aime bien les cunnilingus, je la lèche tous les matins au réveil. Et le soir quand elle rentre du travail, je lui masse les pieds pour la détendre, et souvent, elle veut aussi que je la lèche. Sinon quand on fait l’amour, elle aime bien me chevaucher, être au-dessus.
– Intéressant, je crois que tu as du potentiel.
J’avais posé ma main droite sur la cuisse de mon passager, et cela avait déclenché en lui une certaine tension qu’il ne pouvait pas dissimuler.
– Comment ça du potentiel Madame ?
– Tu trouves que ta relation avec ta copine est normale ?
– Je ne sais pas, je ne me pose pas vraiment la question.
– Elle te domine, ça te plait ?
– Ben, maintenant que Vous le dites, oui c’est vrai, elle me domine, mais, ça ne me dérange pas, et oui, je trouve ça normal.
Vous savez Madame, je me suis souvent dit que si le monde était dirigé par les femmes, il se porterait mieux. Tous les dictateurs, les tyrans, les va-t’en guerre, tous des hommes.
Les femmes sont beaucoup plus réfléchies, elles communiquent mieux, elles sont plus ouvertes, plus douces, et en plus, elles sont plus intelligentes !
– Hum, ta réflexion est intéressante, tu es plutôt mur pour ton âge. Ta copine te bat ?
– Hein, ah non, faut pas exagérer.
– Tu ne l’accepterais pas ?
– A la réflexion, c’est arrivé qu’elle me gifle, parce que le ménage n’était pas bien fait.
– Et alors, qu’as-tu fait ?
– Ben rien, enfin si, j’ai refait le ménage.
– Ce n’est arrivé qu’une fois ?
– Euh non, une autre fois elle m’a giflé parce que je m’étais acheté des habits trop chers et qui ne lui plaisaient pas.
– Et cette fois-là, tu ne t’es pas rebellé ?
– Ben non, j’ai été rapporter les habits.
– Hum hum, tu as aimé ça ?
– Quoi donc madame ?
– Que ta copine te gifle.
– Aimer qu’elle me gifle? Ah non, il ne faut pas exagérer.
-…
– Enfin, je n’ai pas aimé sur le coup, mais quand j’y repense, ça me fait bander.
Je fis remonter ma main le long de sa cuisse jusqu’à effleurer son sexe tendu sous son pantalon.
– J’ai l’impression que tu bandes souvent mon garçon, je crois que tu aurais besoin d’être un peu contraint.
– Contraint, comment ça Madame ?
– Encagé.
Nico sursauta comme sous un coup de fouet.
– Encagé, que voulez-Vous dire, une cage pour le sexe ?
– Oui c’est ça.
– Et c’est Vous qui avez la clé ?
– Oui
Nico était de plus en plus stupéfait.
– Vous avez l’habitude de faire ça Madame ?
– J’ai une bonne expérience.
Le jeune homme resta coi.
– Tu es un sujet intéressant, tu as du potentiel, mais je crois que tu as besoin d’être pris en main sérieusement, d’être dressé.
– Madame…
– Oui ?
– Vous êtes si…
– Si quoi ?
– Si autoritaire, et si douce à la fois, Vous êtes extraordinaire, … mais, et ma copine ?
– Ta copine ne sera pas perdante, ne t’inquiète pas.
– Vous… comment dire, Vous avez déjà dressé des hommes ?
– Oui, bien sûr.
– Mais comment ça, plusieurs ?
– Je possède plusieurs esclaves, et crois-moi, ils sont parfaitement dressés.
Nico resta bouche bée.
– D’ailleurs nous nous rendons justement en visite chez un de mes esclaves, et il est encagé. On arrive.
-…
– Tu peux rester dans la voiture et m’attendre, ou tu peux monter, tu as le choix.
Mais si tu montes, cela veut dire que ton dressage va commencer aujourd’hui, et que tu t’engages à m’appartenir, à moi seule. Je veux contrôler entièrement ta vie sexuelle. Tu pourras rester avec ta copine, mais tu devras systématiquement me demander l’autorisation avant de faire quoi que ce soit avec elle, et il faudra toujours me rendre compte.
– Mais Madame, Vous avez déjà plusieurs esclaves.
– Oui et alors?
…
– Alors, … je monte Madame, si Vous voulez bien.
– Fais une demande un peu plus solennelle, esclave, et nomme-moi comme il se doit.
– Je… Maîtresse, autorisez moi à monter avec Vous, je Vous en prie, je promets de faire tout ce que Vous ordonnerez, j’ai très envie que Vous preniez en main mon dressage, c’est pour moi une révélation, Vous êtes une Déesse, prenez moi, je Vous en supplie, je Vous appartiens, Maîtresse.
– Hum, d’accord, allons-y, porte ma valise esclave!
à suivre…
J’ai rencontré Maîtresse Claire en voiture. Enfin, en réalité, j’ai grillé un feu rouge et je lui suis rentré dedans. Mais ça, je crois que ma Maîtresse vous l’a déjà raconté. Aujourd’hui, je suis entièrement sous son contrôle, sur le plan sexuel et sentimental bien sûr, mais pas seulement. Je dois l’appeler chaque jour pour lui faire le compte rendu de ma journée, et pour qu’Elle me donne des instructions pour les jours suivants. Parfois Maîtresse me donne ses instructions tout de suite, c’est toujours le cas quand il s’agit de ma sexualité avec ma copine, soit Elle m’interdit de lui faire l’amour, soit Elle m’impose certaines pratiques, ou certaines positions. Je dois dire que ma sexualité avec ma copine est beaucoup plus épanouie depuis que Maîtresse Claire l’a prise en main. Et si ma Maîtresse m’interdit de faire l’amour à Alicia, Elle compense toujours en m’obligeant à la faire jouir d’une autre manière, en la caressant, en la léchant. Alicia a découvert certaines pratiques dont ma Maitresse est à l’initiative, et elle apprécie beaucoup. Par exemple que je lui lèche les pieds pendant qu’elle lit ou regarde la télé, ou bien elle s’assoit sur mon visage pour se faire lécher le sexe et l’anus. Alicia est autoritaire, et parfois je dois jongler si ses exigences sont en décalages avec celles de Maîtresse Claire. Car Maîtresse Claire est LA Maîtresse absolue, LA Femme supérieure, et ses instructions priment.
Et d’autres fois, Madame Claire prend le temps de la réflexion. Quand ses instructions engagent mon avenir, Elle ne donne pas ses ordres à la légère. Par exemple, je dois choisir un stage de 6 mois pour mes études, il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, le salaire, le lieu, l’intérêt de l’entreprise… Chacun donne son conseil, Alicia, mes parents, … J’ai donné tous les éléments à ma Maîtresse, et j’attends sa décision, que je suivrai. Il y a un certain confort à appartenir à une Maîtresse aussi autoritaire, plus besoin de prendre de décisions, Elle les prend, et par définition, ces décisions sont les bonnes.
Mais revenons à cette fameuse journée où j’ai rencontré Maîtresse Claire…
Nous étions arrivés chez son soumis, je portais sa valise et son sac à main.
– Prends l’escalier ordonna-t-Elle, c’est au 5ème étage, tu m’attendras en haut devant l’ascenseur, en position prosternée.
Je gravis l’escalier 4 à 4, arrivé en haut, je pris la position requise, tout essoufflé.
Madame sortit de l’ascenseur, et avançant son pied sous mon visage, Elle me donna son escarpin à baiser.
– Suis-moi, à 4 pattes.
Nous entrâmes dans un appartement, Elle devant, moi à 4 pattes derrière. Une personne attendait. Prosternée, une longue chevelure noire – une perruque ? – le haut du corps était nu, en bas elle portait des bas noirs, des portes jarretelles et une culotte assortis, des escarpins également noirs à haut talons. Homme ou femme, difficile à dire dans la position qui était la sienne. Madame avança son pied pour qu’il soit baisé, comme Elle venait de le faire avec moi. L’esclave baisa les pieds de sa Maîtresse, puis sur un claquement de doigts, il se coucha à plat ventre. Madame lui marcha dessus sans précautions, enfonçant ses talons dans son dos et dans ses fesses.
– Sophie, je te présente Nico, c’est un jeune apprenti, il a des dispositions, mais je vais voir ce qu’il vaut réellement, et peut-être investirai-je du temps dans son dressage.
– Nico, je te présente Sophie, c’est un de mes soumis, ce n’est pas son vrai prénom tu l’as compris, je l’ai rebaptisé comme ça, je fais tout ce que je veux avec lui, il m’appartient. ça tombe bien que tu le rencontres, tu vas pouvoir évaluer le niveau d’exigence requis pour devenir ma propriété, il est élevé, tu vas t’en rendre compte.
– Sophie, debout, enlève ta culotte, montre à Nico ta condition.
L’homme, car c’en était un, s’exécuta, et je vis que son sexe était prisonnier d’une sorte de cage, verrouillée avec un cadenas. Son regard semblait aimanté par les chevilles de Madame Claire, et je compris pourquoi, Elle portait une fine chaine en or autour de la cheville, sur laquelle était suspendue une petite clé, et je venais de comprendre à quoi celle-ci servait.
– Eh bien Sophie, tu es hypnotisée par ma cheville ? dit Madame Claire, taquine.
– Nico, nu ! ordonna-t-elle.
Elle avait l’art de passer de l’un à l’autre, en maintenant une tension palpable. Ni Sophie ni moi n’avions parlé. Je me déshabillai rapidement.
– A 4 pattes, chien, tu vas venir récupérer cette clé avec les dents, et tu libèreras Sophie.
– Mais Madame, protestai-je, je suis hétéro, je ne suis pas gay…
Madame Claire s’approcha doucement de moi, et me gifla à toute volée.
– Tu es ici pour me servir, moi seule décide, si ça ne te plais pas tu pars, c’est compris ? Homo, hétéro, ça ne signifie rien, ça ne compte pas, seul mon plaisir compte, et mes ordres, tu commences très mal ton apprentissage esclave, couche toi sur le dos !
Je pris la position demandée en bredouillant des excuses. Aussitôt Madame appuya la semelle de son escarpin sur mon sexe tendu. Ça faisait très mal, je criai et demandai pardon, mais Madame était fâchée, Elle écrabouillait mon sexe comme un mégot.
– Tu as compris maintenant dit-Elle en reculant de quelques pas ? Allez exécution ! Mais d’abord, je vais t’attacher les mains dans le dos pour être sûre que tu ne triche pas.
Ouvrir la chaine avec les dents, les mains liées dans le dos n’était pas chose aisée, d’autant que Madame ne me facilitait pas la tâche. Elle s’était assise sur le canapé et balançait sa jambe, ce qui rendait ma tâche quasi impossible.
– Quel imbécile, dit-Elle, il faut croire que tu n’es pas très motivé. Sophie, aux pieds, viens relayer ce maladroit.
« Sophie » était plus doué que moi, sans doute était-il aussi plus motivé. Il réussit à récupérer la clé assez rapidement.
– Bien dit Madame, donne la clé à Nico, avec la bouche, et ne la faites pas tomber. Nico, libère-le !
Je m’appliquai maintenant pour ouvrir le cadenas, le sexe de « Sophie » avait gonflé et était compressé dans la cage. J’avais le nez collé dessus. Enfin je réussi à le libérer. La cage s’ouvrit et le sexe se déplia au maximum. J’étais surpris par sa taille, « Sophie » n’était pas très grand mais plutôt musclé, et son pénis mesurait bien 20cm !
– Bien, Sophie, détache-le, Nico, ouvre ma valise !
Les ordres fusaient.
J’ouvris la valise, et je découvris toute une gamme d’instruments : un fouet, un martinet, des godemichets de différentes tailles, dont un double !
– Apporte-moi le godemiché double.
Je m’empressai d’apporter l’instrument, et équipai Madame avec soin.
– Suce !
Je suçai le membre, agenouillé aux pieds de Madame. Je m’appliquai, Madame me tenais par les cheveux.
– Tu aimes ça salope, pas vrai ?
– Mmmm
– Bon ça suffit, Sophie, vas me chercher le fouet et le martinet, et mettez-vous tous les 2 à 4 pattes sur le canapé, les fesses bien levées. Sophie à gauche, Nico à droite.
Madame Claire prit le fouet dans sa main gauche, car l’instrument réclamait une grande précision, et le martinet dans sa main droite.
– Vous allez recevoir chacun 50 coups de fouet expliqua-t-Elle. Nico tu vas recevoir le martinet, pour avoir abîmé ma voiture, Sophie, tu vas recevoir le fouet, uniquement pour Mon bon plaisir.
Sa phrase fut ponctuée d’un rire cristallin.
– Jeune homme, sache que le martinet n’a rien à voir avec le fouet. Prend exemple sur Sophie, elle va recevoir sa punition sans broncher, je peux te le garantir.
– Comptez !
Les coups commencèrent à pleuvoir, Madame Claire frappait alternativement de la main droite et de la main gauche, un coup de fouet pour Sophie, un coup de martinet pour moi. Elle était très habile, les coups étaient secs et précis, et Elle ne prenait pas de pose ! Plus la correction avançait, plus Madame fouettait fort.
Au bout de 20 coups, j’étais en pleurs, alors que Sophie était impassible. Je serrai les dents, je ne demanderai pas grâce !
Au 30ème coup, Sophie commençait à gémir et à tressaillir. Au 40ème, nous étions tous les 2 en pleurs, mais aucun ne demandait grâce. Madame cinglait implacablement, un fouet dans chaque main, un fouet pour chaque esclave…
Enfin la correction prit fin. Sophie et moi sanglotions sur le canapé.
– Tu es bien douillet mon garçon, commenta Madame Claire.
– C’est bien Sophie tu as été courageuse, tu vas être récompensée. Prépare l’anus de mon jeune apprenti.
Sophie introduit un doigt dans mon anus, étalant un produit froid.
– Place toi devant Nico. Nico, met toi à 4 pattes, bien cambré, tu vas sucer Sophie, et applique toi, je veux qu’elle soit satisfaite, elle l’a mérité, et présente moi tes fesses, je vais m’occuper de ton cul.
– Madame, c’est la première fois, je n’ai jamais sucé, et je n’ai jamais été sodomisé non plus…
– Eh bien, une double première, profites en bien mon esclave !
ET Elle pénétra mon anus sans plus attendre, en même temps que Sophie avait saisi mes cheveux et introduit son sexe dans ma bouche. Madame et « Sophie » accordèrent rapidement leur rythme, les sexes emplissaient simultanément ma bouche et mon cul. La sensation était nouvelle, j’étais un objet de plaisir, un jouet. Et ça me plaisait.
– Tu peux gicler dans sa bouche Sophie autorisa Madame, je veillerai à lui faire tout boire.
« Sophie » ne se fit pas prier, à peine l’ordre formulé, il gicla dans ma bouche, me tenant fermement pour m’empêcher de recracher. Madame détacha son harnais, laissant le gode dans mon cul.
– Couche-toi sur le dos, ordonna-t-Elle.
Madame se positionna au-dessus de moi, j’avais une vue unique sur son sexe rasé. Soudain il tressaillit, une giclée d’urine m’atterrit sur le visage.
– Bois esclave !
Je bus tout le liquide, cette méthode était efficace pour m’obliger à avaler aussi le sperme.
– C’est bien apprécia Madame, pour un débutant tu te débrouilles bien. Je t’autorise à te branler devant nous. Ensuite tu nettoieras.
Fin de la 2ème partie
Troisième partie
Je me réveille, et tout de suite, je sens que mon pénis est prisonnier. J’ai l’habitude de me réveiller chaque matin avec une belle érection, mais là je ne peux pas, Madame Claire à enfermé ma virilité dans une cage, et Elle seule possède la clé du cadenas. C’est maintenant une habitude, dès qu’Alicia part en déplacement pour son travail, Madame Claire m’encage, et Elle me libère avant qu’Alicia ne rentre.
Sauf que là, je dois aller chercher Alicia à la gare ce matin, et hier soir, Madame a annulé notre rendez-vous au dernier moment. J’ai insisté, mais Elle m’a répondu sèchement
– J’annule c’est tout, est-ce que je devrais me justifier auprès de mes esclaves, ce serait nouveau ! Furent ces mots, accompagnés d’un éclat de rire dont Madame a le secret.
– Mais Maîtresse Claire ais-je faiblement rétorqué, Alicia rentre demain matin, et je suis encagé, comment vais-je faire ?
– Crois-tu que je ne le sais pas ? Je sais parfaitement où j’en suis avec tous mes soumis, et figures toi que je n’ai pas que toi à m’occuper, tu te débrouilles c’est tout !
Je suis allé chercher Alicia à la gare en fin de matinée, j’étais assez nerveux, Alicia, elle, était de fort bonne humeur.
– N’y a-t-il pas un petit colis pour moi ? demanda-t-elle en arrivant à la maison.
– Oui, tu as reçu ça, dis-je en lui tendant une petite boite, tu attendais quelque chose ?
– Oui, voyons voir ça.
Alicia ouvrit la boîte, elle contenait une petite clé, accrochée à une chaîne. Et celle clé ne m’était pas inconnue… je devins tout rouge et commençai à transpirer abondamment.
– Tu devines ce que c’est chéri ? Demanda Alicia, taquine.
– Euh…
– Tu as perdu ta langue ? Pourtant tu vas en avoir besoin…
Puis d’un ton plus sec et autoritaire :
– Déshabille toi, et met toi à genoux, aux pieds !
Il était clair qu’une alliance s’était nouée derrière mon dos, « à l’insu de mon plein gré » comme on dit. Une alliance invincible entre Madame Claire et Alicia ! Je n’avais plus qu’à m’exécuter.
Je me mis nu et m’agenouillai devant Alicia, exhibant ma cage de chasteté. Mon envie de bander était terrible.
– Bien dit Alicia, je vais inspecter la maison, j’espère que tu as bien fait le ménage en mon absence. Suis-moi à 4 pattes.
Alicia passa toute les pièces en revue, je suivais à 4 pattes. Elle semblait satisfaite, il faut dire que j’avais briqué l’appartement, je sais bien qu’Alicia apprécie…
– Tu as fait les courses aussi ?
– Oui Alicia, et tout est rangé.
– Bien, tu marques des points, mais je ne vais pas tout de suite te libérer, d’abord tu vas t’occuper un peu de moi, j’ai eu 3 jours épuisants, et j’ai dû courir pour avoir le train, j’ai transpiré. Déshabille-moi, tu vas me détendre.
Alicia était maintenant allongée sur le lit, sur le ventre. Elle était nue, et je lui prodiguais des massages sur tout le corps, des pieds à la tête.
– Vas me faire couler un bain, ordonna-t-elle. Pendant que ça coule, tu me lècheras les pieds, tu sais que j’adore ça.
– Oui Alicia chérie, tu ne veux pas prendre ton bain d’abord ?
Pif, la gifle m’atteignit sans que j’aie pu anticiper quoi que ce soit.
– Pourquoi, j’ai trop couru, tu trouves que je ne sens pas bon ?
– Non non, pas du tout, ce n’est pas pour ça, c’était pour toi.
– Eh bien moi, je veux que tu me lèche maintenant, et partout ! Commence par mes aisselles dit-elle en relevant les bras, ensuite tu t’occuperas de mes pieds, et du reste !
Je léchai les aisselles d’Alicia avec dévotion, elle aimait cela, et moi aussi. Ensuite je descendis jusqu’à ses pieds. Je glissais ma langue sous son talon, entre ses orteils, Alicia ronronnait.
– C’est bien mon chéri, continue. Remonte plus haut maintenant, lèche ma chatte et mon cul!
Je m’exécutai, toujours encagé, je léchai longuement le sexe et l’anus d’Alicia, aspirant son clito jusqu’à ce qu’elle parvienne à l’orgasme. Enfin, après avoir longuement joui, Alicia libéra mon sexe.
– Allez viens, j’ai envie de ta bite maintenant !
Alicia et moi étions maintenant au salon, elle lisait, installée sur le canapé, et je lui massais et baisais les pieds. J’avais pas mal de questions en tête, surtout que j’avais remarqué lorsque je l’avais massée des marques sur ses fesses et son dos que je n’avais jamais vues auparavant.
– Alors, tu connais Madame Claire ? Demandais-je.
– Eh oui.
– Depuis longtemps ?
– Cela fait plusieurs semaines qu’Elle m’a contacté, Elle voulait me rencontrer, pour me parler de toi.
– Ah, et qu’est-ce que vous dites sur moi ?
– Elle m’a raconté tout ce qu’Elle te fait, la façon dont Elle te dresse, je sais tout !
– Oui je m’en suis rendu compte…
– Et Elle souhaitait que je puisse la relayer à la maison, en quelque sorte, Elle te prête, elle est ta Maîtresse, mais quand tu es à la maison, tu es à moi, en prêt. J’ai tous les droits sur toi, je dois juste lui rendre compte. Je ne te demande pas si tu es d’accord ?
– Je suis d’accord Alicia, bien sûr. Si Madame Claire t’a tout expliqué, Elle a dû aussi te dire qu’Elle m’a fait signer un contrat, ce contrat stipule qu’Elle a tous les droits sur moi, dans tous les domaines, je suis sa propriété exclusive, Elle peut faire ce qu’Elle veut de moi, y compris me prêter bien sûr.
– Je l’ai lu répondit simplement Alicia.
– Et tu es aussi d’accord demandais-je, ça ne te dérange pas de devoir rendre compte à Madame Claire ?
– Non, pas du tout, c’est normal, c’est Elle qui t’a dressé, Elle dispose de toi comme Elle l’entend. Et je suis ravie de profiter de ton éducation, ajouta Alicia en glissant son pied dans ma bouche.
Je suçai un moment ses doigts de pieds comme elle le souhaitait.
– Mais, repris-je, quelles sont vos relations exactement.
– Hum, petit curieux, nous y voilà… mais au fait, j’ai oublié de te remettre ta cage, apporte !
Alicia me remit ma cage, puis daigna répondre à ma question.
– Tu as remarqué les marques sur mes fesses et mon dos ?
– Oui forcément, c’est Madame qui te les a faites ?
– Oui.
– …
– Au début, Elle m’a raconté ton dressage, et Elle m’a aussi raconté qu’Elle avait plusieurs esclaves, des réels et des virtuels, ça m’a vraiment fasciné, Elle a un tel charisme. Mais Elle a exigé de me dominer aussi, c’était sa condition pour te prêter, car Madame est prêteuse, à condition de conserver le contrôle de son soumis. Apparemment Elle a déjà eu des déceptions dans ce domaine. Elle n’a pas eu besoin d’insister, j’étais demandeuse, mais ne crois pas que ça te donne plus de droits ! Ajouta Alicia en me giflant légèrement de la plante de son pied.
– Qu’est-ce qu’Elle te fait ? Demandais-je, curieux.
– Uniquement la cravache, Elle me fait mettre nue, et pendant qu’Elle me cravache, on discute de ton dressage. Mais bon, tu n’as pas besoin de tout savoir, tu es bien trop curieux, et j’ai un travail pour toi, figures toi qu’on a rendez-vous avec Madame Claire dans une heure, mais il faut que tu installes quelques trucs avant. Vas chercher ma valise.
La valise contenait une caméra boule, équipée d’un micro et d’un petit haut-parleur. Elle contenait aussi un martinet, que je donnai à Alicia.
La caméra était motorisée selon 2 axes, et commandable à distance. Elle pouvait être contrôlée depuis l’extérieur. C’était mon domaine d’installer ce genre de matériel. Alicia me donna les codes d’accès qui permettraient à Madame Claire de contrôler la caméra. Ainsi, depuis son téléphone, ou depuis son ordi, Madame pourrait à tout moment prendre le contrôle de la caméra, l’orienter, zoomer, et même écouter et parler si Elle le désirait. Diabolique !
– C’est bon ça devrait fonctionner dis-je après une bonne demi-heure de travail.
– Parfait, met toi à 4 pattes sur le canapé, Madame souhaite assister en direct à ma première expérience avec un martinet. On a rendez-vous dans ¼ d’heure.
…
– Bonjour Alicia, bonjour Nico, tu peux commencer Alicia, mon esclave est-il toujours encagé ?
– Bonjour Madame Claire, oui bien sûr, comme Vous l’aviez ordonné.
– Parfait, bon travail Nico, l’image est bonne, je peux orienter la caméra, zoomer, c’est très bien.
– Merci Madame Claire.
Alicia commença à fouetter, doucement.
Par rapport aux punitions que m’infligeait Madame Claire, je ne sentais presque rien.
– Alicia, arrête ! Tu t’y prends très mal. Il ne sent rien du tout là. Il faut que tu armes ton bras pour prendre de l’élan, et que tu frappes fort. Tu vas donner cinquante coups. Nico, tu vas compter, de 50 à 0. A la moindre erreur on recommencera. Allez !
Madame Claire me dressait maintenant au fouet, et savait très bien ce que je pouvais supporter.
Alicia reprit la punition au début, en frappant beaucoup plus fort. On était encore loin d’une correction au fouet de Madame Claire. Je comptais les coups, 50, 49, …, au bout d’un moment, ça piquait quand même. On arriva à 0.
– C’est bien Alicia, apprécia Madame, tu le fouetteras chaque jour, 50 coups, il faut que tu t’entraines un peu. Rendez-vous demain même heure. Et pas de libération, il reste en cage jusqu’à nouvel ordre. Vous avez fait l’amour aujourd’hui ?
– Oui Madame répondîmes-nous en chœur.
– Alicia, tu me demanderas quand tu auras de nouveau envie, je ne veux pas que tu le libères sans mon autorisation, compris ?
– Oui Madame Claire c’est compris.
Ainsi un nouveau pallier était franchi dans mon dressage, Madame Claire, ma Maîtresse, déléguait ! Elle formait Alicia pour me dresser à domicile, et Elle conservait tout le contrôle, Elle pouvait nous observer à sa guise, nous écouter, ordonner !
Madame Claire, La Femme Supérieure, j’étais fier de lui appartenir. Plus que jamais j’étais à Elle, sa chose, son jouet, son chien… totalement dévoué.
nico_conteur
Moi aussi j’aime bien
J’adore ton histoire nico 👍