bonjour, nouvelle histoire, dans un genre un peu différent, c’est l’histoire d’Annie.
« En panne ».
Les pensées envahissent mon esprit !
Ne pas céder à la panique, il n’y a pas de quoi. Rester calme, j’ai mon téléphone, et je suis dans ma voiture, même si elle en panne en pleine nuit ! J’ai connu des situations plus périlleuses.
Pas question d’appeler mon mari ! Cet enfoiré me prend pour une conne. J’ai encore en tête les images de la réception à laquelle nous étions invités. Des relations de son travail, il faut faire bonne figure, jouer le couple glamour… Mon cul oui ! Luc a passé son temps à papillonner avec des jeunes femmes, aussi bêtes et jolies les unes que les autres, et moi, la moitié du temps, je me suis retrouvée comme une gourde ! C’était bien la peine de me mettre sur mon 31. Sandales noires avec talons de 10 cm, mes pieds soigneusement pédicurés et vernis en bordeaux, une robe fluide bleue à bretelles, au-dessus de genou, mettant en valeur mes jambes bronzées et finement musclées, et sous ma robe, se laissant deviner pour qui sait regarder, un ensemble string et soutien-gorge assortis, blanc et gris. Je sais que je suis encore une très belle femme, et je ne me prive pas de le laisser imaginer aux observateurs avertis… Bon, pour être tout à fait franche, je collectionne les amants, rare sont les hommes qui me résistent !
Quelle soirée navrante ! Mon mari jouant les séducteurs avec des hôtesses venues d’on ne sait où, et moi réduite au rang de potiche, entourées de quelques vieux messieurs particulièrement barbants !
Vers 23 heures, j’ai décidé de partir, j’ai récupéré les clés de la voiture, et je suis partie fièrement, plantant mon mari là !
Une demi-heure plus tard, j’étais en panne au milieu de nulle part.
Ma première idée est d’appeler mon amant, Nicolas, ou plutôt de lui envoyer un SMS, Nicolas est marié, mais je suis sûre qu’il va accourir, il me mange dans la main, il est follement amoureux de moi. Il doit juste trouver un prétexte pour expliquer à sa femme qu’il doit sortir en pleine nuit ! Je souris en pensant à lui, je lui fais faire tout ce que je veux, c’est un vrai toutou… sur le plan sexuel, il est infatigable, et toujours partant ! On fait des trucs que je n’aurais jamais imaginé faire avec mon mari. Je rigole toute seule en y pensant, j’ose à peine l’évoquer ici… bon allez… je le sodomise avec un godemiché ceinture, j’adore ça, et lui aussi. Et je peux vous dire que j’y vais franchement, je donne de bons coups de reins, et je lui claque les fesses en même temps. Ensuite je lui fais sucer, je l’oblige à nettoyer avec la bouche. J’adore aussi m’assoir sur lui, alternativement sur sa queue et sur son visage, lui faire lécher ma mouille, j’adore l’humilier ! Et il adore ça aussi.
Ma main s’est égarée sous mon string en y pensant… Ma robe est relevée jusqu’à ma taille. Mais il est presque minuit, et toujours pas de réponse de sa part. je dois trouver une autre solution.
Il faut que j’agisse. Il y a un garage pas loin, je connais le garagiste, un très bel homme, environ 40 ans, je dois avouer que j’avais quelques vues sur lui, mais bon, je ne peux pas non plus baiser avec tous les hommes, Luc, Nicolas… je suis déjà bien occupée. Bon, pas le choix, je l’appelle.
– Allo, bonjour, je suis bien au garage Bertrand ? c’est Annie Bonne, on se connait, mon mari a déjà apporté la voiture chez vous.
– Oui en effet, je m’en rappelle, et que puis-je faire pour vous ?
– Ecoutez, c’est assez gênant, figurez vous que je suis en panne à moins d’un kilomètre de votre garage, je sais qu’il est tard, mais je ne savais pas quoi faire.
– Vous êtes seule ? Votre mari ne peut pas venir vous récupérer ?
Il n’est pas plus avenant que ça, ce n’est pas gagné, il faut absolument qu’il vienne me dépanner. Je joue à fond la carte de la femme en détresse, ce qui est d’ailleurs le cas.
– Non, en fait, nous étions à une soirée, et je suis rentrée seule, mon mari ne peut pas venir, je suis vraiment désolée, je ne savais pas qui appeler, et je suis juste à côté.
– Humm, vous êtes où exactement ?
Je sens une ouverture, en tout homme réside un chevalier servant… j’explique ma position.
– Mmm, ça ne m’arrange pas trop, j’ai des invités à la maison. Vous ne pouvez vraiment pas appeler votre mari ?
Je vois, Monsieur veut se faire prier, il me laisse une ouverture, puis il se fait tirer l’oreille. Je suis assez forte à ce petit jeu !
– Je vous en prie, je suis vraiment coincée, ça ne vous prendra pas longtemps, s’il vous plait Monsieur, je…
« Je » quoi ? ça je lui laisse deviner, ne pas finir sa phrase, laisser en suspend…
– Oui ?
Ça ne marche pas, je suis obligée de m’avancer…
– Je vous en prie, je vous payerai.
– Oui bon, ce n’est pas vraiment la question…. Vous êtes Mme Bonne vous avez dit… oui je me rappelle bien de vous, une blonde plutôt sexy !
– Euh, oui, c’est ce qu’on me dit souvent.
– …
Silence … il semble en pleine réflexion, mais j’entends que ça discute à voix basse derrière le téléphone.
– Bon.
– Oui ?
– Je viens de parler avec mon apprenti, il est à la maison avec sa copine, il se rappelle aussi de vous, vous lui aviez fait forte impression, « une belle femme qui n’a pas l’air d’avoir froid aux yeux », c’est ce qu’il m’a dit.
Nous y voilà, Monsieur veut glisser sur des sujets sexuels… mais c’est vrai que je n’ai pas froid aux yeux. Un garagiste et son apprenti, ça ne me fait pas peur.
– Et bien, oui, on peu dire ça, je suis contente qu’il se rappelle de moi, d’ailleurs, je me souviens aussi de lui, un jeune très grand et mince, et de vous aussi naturellement.
– Dites-moi, je parie que vous vous êtes fait draguer à cette réception !
– Oh, un peu oui, ça m’arrive souvent, mais rien de très intéressant, que des vieux messieurs ennuyeux !
– Je vois, bon, je pense que je vais pouvoir m’arranger, je vais venir avec mon apprenti, j’aurais juste une ou deux questions à vous poser…
– Oui allez-y.
– Vous portiez quoi pour cette réception ?
Je m’attendais à ce qu’il me pose des questions sur ma panne de voiture, c’est inattendu !
– Une robe bleue légère, assez courte, et des sandales à talon.
– Mmm, et en dessous ?
– En dessous, et bien, des dessous gris et blanc, un string et un soutien-gorge.
– Très bien, on vient, mais il y a juste une petite condition.
– Euh, oui, laquelle ?
– Tu vas nous attendre toute nue, tu poses ta robe et tes dessous sur le capot, et tu attends dans la voiture, compris ?
Je suis stupéfaite, il me tutoie et me donne des ordres ! Et pourtant j’en ai vu de toutes les couleurs.
– Mais écoutez, je suis au milieu de la forêt, si quelqu’un vient, je ne peux pas faire ça.
– On est à 5 minutes, ça ne risque rien. Envoie la photo par SMS, dès que j’ai la preuve on se met en route.
Clac, il a raccroché !
Je n’hésite pas longtemps, quel autre choix ais-je ? Et je me rappelle effectivement du jeune apprenti, un grand maigre assez mignon, alors que le garagiste est plutôt baraqué !
Quelques minutes plus tard, j’envoie 2 photos par SMS au garagiste, la première, c’est ma robe et mes sous-vêtements, joliment disposés sur le capot de la voiture, la deuxième, c’est un selfie, nue sur le siège de la voiture, avec mon visage bien visible. Je n’attends pas longtemps la réponse, mais ce n’est pas tout à fait celle que j’espérais.
– Bien, maintenant photo de ta chatte en gros plan, jambes bien écartées.
Les salauds !
Je n’ai plus trop le choix, au point où j’en suis ! J’envoie la photo demandée. La réponse ne tarde pas.
– Bonne chienne, on arrive, garde les cuisses comme ça, buste bien droit, et allume l’éclairage intérieur qu’on te voie bien !
Dépannage
Finalement, c’était juste une panne d’essence ! Bravo Luc.
Ils sont arrivés à 3, le garagiste, Louis, son apprenti, Max, et la copine de se dernier, Adeline. Une belle salope ! Très belle fille, cheveux courts foncés, short en jean ultra mini, haut dos nu attaché autour du cou, et tennis blancs. Elle est aussitôt allé récupérer ma robe et mes dessous, et les a soigneusement rangés dans leur voiture.
Pendant ce temps Louis et Max se sont placés de part et d’autre de la voiture pour m’observer. Leurs queues sont sorties et ils se branlent en me regardant. Je ne bouge pas, mais j’observe les sexes, longue et mince pour Max, plus trapue pour Louis.
Adeline vient s’assoir à côté de moi. Elle se comporte en propriétaire, elle caresse mes seins et mes cuisses, me force à ouvrir davantage mes jambes, et fourre ses doigts dans mon sexe. Elle les retire tous mouillés ! Elle les lèche et les replonge, puis me force à les lécher. Ensuite je suis sortie de la voiture et invitée à sucer les queues des hommes présents. Je ne me fais pas prier. Adeline a sorti de son sac un godemiché ceinture et me force à la sucer également. Je suis ensuite prise simultanément par mes 3 violeurs, Adeline s’occupant de me sodomiser, alors que les 2 hommes s’échangent à tour de rôle ma bouche et mon sexe.
Je jouis à plusieurs reprises, et je remarque qu’Adeline est la plus vicieuse du trio, Louis le garagiste profite de l’aubaine, mais je ne le sens pas très à l’aise, ce n’est pas vraiment un dominateur. Max, lui est sous l’influence de sa copine.
Quand ils en terminent avec moi, je suis épuisée.
Ils me ramènent à la maison à 3h du matin passé, et Louis promet de me rapporter ma voiture le lendemain. Je prends une très longue douche avant d’aller me glisser dans le lit. Mon mari ne se réveille pas, ou bien fait il semblant ?
Le lendemain je me réveille tard, et je remarque que Louis m’a déjà écrit.
« Votre voiture est prête, quand souhaitez vous que je vous la dépose ? »
Je souris, c’est drôle ce vouvoiement, après m’avoir copieusement humiliée et violée !
Luc ne sera pas là de la journée, mais je souhaite réfléchir un peu et me reposer.
« Passe à 14h », réponds-je assez sèchement. Je me rappelle que je ne l’ai pas senti très dominateur hier, je vais explorer cette piste…
A 14h précise, Louis arrive, je ne dis rien, je fais le tour de la voiture. Louis ne sait pas comment se comporter, il attend. Je ne fais rien pour dissiper la gêne qui s’est installée, au contraire, je fais durer le moment. Enfin je l’interroge :
– Tu as fait le plein ?
– Oui.
– Et il n’y avait pas d’autres problèmes, tu as contrôlé ?
– Oui j’ai contrôlé, tout va bien.
Il est étonnamment docile, en fait il n’assume pas ce qui s’est passé la veille. Alors que moi j’ai un plan très clair, je sais exactement quoi faire.
– Viens !
Il me suit dans la maison comme un toutou. Je l’attaque sans attendre.
– Ce qui s’est passé hier, c’est un viol, je ne sais pas si tu en es conscient.
– Mais… c’est-à-dire, oui, mais je pensais que vous étiez consentante.
Clac, je le gifle à toute volée, il ne s’y attendait pas du tout et il est déséquilibré.
– Je tiens à te dire que j’ai porté plainte à la police, il va y avoir une enquête.
Mensonge éhonté !
Louis reste interdit.
– Je n’ai pas donné de noms, j’ai dit que je ne connaissais pas mes agresseurs, mais ce sera très facile de vous identifier, avec l’ADN aujourd’hui, c’est un jeu d’enfant.
– Je suis désolé, je me suis laissé entrainer.
– Mmm, ben voyons…
– Je vous en prie, vous pouvez me croire, c’est mon apprenti, et surtout sa copine en fait, elle est terriblement perverse. Je vous demande pardon.
– Humm, facile… bon je veux bien croire que c’est vrai, mais tu n’es plus un gamin, tu es en âge d’assumer tes actes il me semble, maintenant il va falloir payer l’addition. Déjà c’est pas comme ça qu’il faut demander pardon !
– Heu, mais c’est comment ?
– Pour commencer, « c’est comment Madame ! »
– Oui pardon Madame.
– Mieux… bien, pour me demander pardon, c’est tout nu et à genoux, j’attends !
Mon garagiste est décontenancé, mais il n’hésite pas longtemps, il se déshabille et se met à genoux. Il bande honteusement !
Je tourne autour de lui, moqueuse,
– Eh bien, c’est du joli, tu n’as pas l’air si contrit, j’attend tes excuses, précises en bien le motif !
– Je vous demande pardon pour vous avoir violée Madame, je me suis laissé entrainer comme un gamin.
Je le coupe en lui envoyant un coup de pied directement dans les couilles. Il se plie en 2 et se retrouve à 4 pattes.
– Viens, suis-moi, reste à 4 pattes.
Je me dirige vers la chambre, il me suit comme un chien. Je sors du tiroir de la commode un magnifique godemiché que je positionne autour de ma taille.
– Approche salope, suce !
Louis bande à tout rompre, je lui fais d’abord lécher le membre, puis je lui défonce la bouche sans aucune retenue, agrémentant le viol de quelques gifles bien senties. Son érection ne se dément pas. J’adore cela, me sentir toute puissante, et voir qu’il aime cela, il ne peut pas le cacher, c’est un des avantages d’être une femme !
– Monte sur le lit, et tends bien les fesses vers moi !
Mon gode est maintenant en totalité entre les fesses de Louis, je les claque allègrement tout en le défonçant intensément, à un rythme parfois lent, parfais soutenu, un rythme que je dicte et qu’il subit ! Je jouis plusieurs fois pendant la pénétration.
– T’aimes ça salope hein ?
– Mmmm, doucement, par pitié.
J’empoigne ses couilles et je les serre, et je continue de violer son cul brutalement.
– Dis que tu aimes chienne, ou je te déchire l’anus !
– Oui j’aime ça, ahhhh, pitié.
– Tu aimes quoi ?
– J’aime que vous me défonciez le cul, ohohh Maîtresse, je vous aime !
Louis jouit en même temps qu’il m’avoue son amour, et me nomme « Maîtresse » pour la 1ère fois. En réponse je m’enfonce plus loin encore dans son anus et je claque ses fesses fortement pour marquer mon territoire. Je jouis encore en même temps que mon esclave.
On est maintenant allongés sur le lit, épuisés. Je me lève et vais chercher un objet dans la commode.
– Tiens Louis, c’est un cadeau pour toi, tu es à moi à partir de maintenant.
Louis me regarde éberlué, sa queue se redresse.
Mon esclave en cage
Isabelle est une de mes meilleures amies, on se retrouve souvent à la piscine, et notre activité favorite, quand on a terminé de nager, est de mater les hommes. C’est d’ailleurs ici que j’ai rencontré plusieurs de mes amants, et Isabelle n’ignore rien de mes aventures, mais elle est plus réservée que moi.
Ce jour-là, on est restées tard, et on s’est copieusement rincé l’œil, on s’est même fait draguer par des jeunes de 25 ans. Isabelle se serait bien laisser tenter, mais je l’ai un peu freinée, il faut dire que je suis assez pourvue en amants ces temps-ci. Elle faisait une peu la tête quand on est reparties. Et quand sa voiture a refusé de démarrer, elle était carrément furax.
– Quelle merde ces bagnoles, ça va encore me coûter un bras !
– T’énerves pas ma chérie, je connais très bien un bon garagiste, je vais le faire venir tout de suite et ça ne te coûtera rien du tout.
– Oh oh, Isabelle me regarde bizarrement, cachotière, tu as un nouvel amant.
– Humm, c’est possible, je voulais t’en parler mais….
– Mais quoi ?
– C’est un peu particulier avec lui.
– Comment ça particulier ?
– C’est un peu plus qu’un amant.
– Ah bon, c’est sérieux, tu ne vas pas divorcer quand même ?
– Non non, rassure-toi. Je veux dire, c’est différent.
– Bon explique toi, arrête de faire ta mystérieuse.
– Ben écoute, le mieux, … , tu vas voir par toi-même, appelle le.
– Je l’appelle, mais je lui dis quoi.
– Tu lui dis que tu es mon amie, que tu es en panne à la piscine, et que tu as besoin qu’il vienne te dépanner immédiatement.
– Euh, et tu crois qu’il va venir ? Les garagistes sont plutôt débordés !
– On va voir, tu précises que c’est moi qui t’ai dit de l’appeler, et puis, à toi d’être persuasive.
– Il faut que je sois autoritaire ?
– Oui c’est ça
– Mmmm, ça promet, hi hi.
…
– Bonjour, je suis Isabelle, une amie d’Annie, je suis en panne sur le parking de la piscine.
– …
– Oui c’est ça, j’aimerais que vous veniez me dépanner.
– …
– Il faudrait venir tout de suite.
– …
– Bon, vous êtes décevant, Annie m’a assuré que vous viendriez tout de suite, je vais lui dire que vous refusez, ça ne va pas lui plaire. Au revoir monsieur !
Clac, Isabelle a raccroché sèchement.
Quelques secondes plus tard, son portable sonne.
– Met du son Isabelle, je veux écouter. Et tutoie-le, il faut tout de suite le mettre au pas !
– Allo, pourquoi me rappelles tu ? Tu as changé d’avis ?
– Ecoutez, oui, j’ai pu me libérer, je peux être sur place dans ¼ d’heure.
– Bon, je vois que tu es un peu plus serviable, je vais quand même faire part à Annie de ta première réaction, ce n’est pas très professionnel !
– Non, je vous en prie, je viens tout de suite, inutile de lui dire.
– Tu la crains on dirait…
– Et bien, euh, oui c’est vrai, elle contrôle … certaines choses, et je ne veux pas lui déplaire.
– Ah bon, et que contrôle-t-elle exactement ?
– Ça, je ne peux pas le dévoiler, c’est très personnel.
– Je te déconseille de me déplaire à moi ! Tu n’es pas très bien dressé je trouve, réponds à mes questions ou je trouverai un autre garagiste, crois-tu que tu es indispensable ?
– Non non Madame, pas du tout, je vous demande pardon.
– Bien je préfère cette attitude, j’écoute tes explications.
– Je suis encagé, et seule Annie possède la clé !
– Mmmm, je vois, elle contrôle ta sexualité.
– Oui c’est ça, et elle est inflexible, si vous vous plaignez de mes services, je risque gros.
– Que risques tu ?
– Je risque de rester encagé pour plusieurs semaines, Elle, je sais qu’elle a d’autres amants, elle n’est pas en manque, mais moi, c’est très dur qu’en elle me laisse encagé, surtout que…
– Oui, surtout quoi ?
– Elle me sodomise, c’est très douloureux, et humiliant, mais ça m’excite beaucoup aussi.
– Je vois, et bien dépêche toi de venir, je pourrais plaider en ta faveur si tu travailles bien.
– Oh merci Madame, je viens immédiatement.
Louis s’est montré efficace. Le problème venait de la batterie et a été réglé en 5 minutes. Je l’ai félicité et j’ai emmené Louis et Isabelle dans un endroit discret dans le parc situé derrière la piscine.
– Louis, montre ta condition à Isabelle.
Louis descend son pantalon pour exhiber son sexe emprisonné, il ne porte pas de slip ni de caleçon, je précise en riant à Isabelle que je le lui interdis. Le pénis est gonflé et comprimé dans sa cage métallique.
– Louis, tu sais où est la clé ?
– Oui Maîtresse.
– Donne la à Isabelle, elle va te libérer.
Le sexe de Louis semble de plus en plus étroit dans sa prison. La clé est toujours suspendue à la chainette que je porte autour du cou, je l’ai toujours sur moi, et c’est le seul exemplaire. Louis me la tend plein d’espoir à Isabelle.
Alors qu’Isabelle libère sa queue, je sors de mon sac de piscine un godemiché ceinture de bonne taille. On va bien s’amuser !
nico_conteur
Belle histoire nico_conteur, moi j’aime beaucoup !