voici un 2ème récit, toujours dédié à Madame Claire.
Celui-ci s’intitule :
« Sous la botte de la nouvelle cheffe ».
– Suce ordonna-t-Elle !
J’étais nu, à genoux devant la nouvelle chef de service, un godemiché noir d’environ 20 centimètres sous mon nez. J’ouvris la bouche et commençais à sucer la bite de latex.
J’avais moi-même équipé Madame Claire de ce godemiché quelques secondes plus tôt. Cet équipement était remarquable, car, outre le sexe noir long et épais, il était constitué, de l’autre côté d’une ogive de forme ovale en inox, plus petite, mais plus épaisse, reliée à la longue bite par une liaison souple. Cette partie était dans le sexe de Madame Claire, et la bite noire était maintenant dans ma bouche.
Madame m’avait saisi par les cheveux et guidait la fellation. Au début, Elle me fit sucer le bout, en me faisant déplacer la tête de droite à gauche, et de haut en bas, ce qui avait pour effet de faire bouger le plug en Elle. Ensuite, Elle m’obligea à prendre le godemiché entier dans ma bouche, jusqu’au fond de la gorge, et pour finir, Elle me baisa littéralement la bouche, allant et venant jusqu’au fond de ma gorge en de longs coups de reins, me tenant fermement par les cheveux. En même temps que ses va et vient, Elle imprimait un mouvement d’ondulation de haut en bas, utilisant ma bouche sans vergogne, cherchant le mouvement qui lui procurait le plus de plaisir. Madame m’avait aussi passé un collier de chien, relié à un cordon de cuir qui servait de laisse. Elle l’utilisait pour me guider, tout en me tenant par les cheveux. Cela dura un bon moment, j’avais du mal à respirer, Madame allait de plus en plus vite, et de plus en plus profond, imprimant au plug qu’elle avait en Elle les mouvements opposés aux grands coups de bassin qu’Elle m’infligeait.
Soudain Elle mit fin au travail de ma bouche.
– Lève-toi ordonna-t-Elle, et penche toi sur le bureau.
Je m’exécutais, et attendis, penché sur le bureau, fesses offertes.
Madame Claire me positionna les bras dans le dos, et me passa prestement une paire de menottes qu’Elle gardait dans son tiroir, Elle relia les menottes au lacet de cuir de mon cou en le faisant simplement coulisser, si bien que lorsqu’Elle tirait sur le lacet, Elle tirait simultanément sur mon collier, m’obligeant à me cambrer, et sur mes bras, qui étaient douloureusement tirés vers le haut.
D’une main, Elle tenait le lacet, me contrôlant totalement, et son autre main était posée de façon possessive sur ma hanche.
– Madame dis-je faiblement, je n’ai jamais été, je veux dire, c’est la première fois…
– Quoi, que veux-tu dire, demanda-t-elle, ton anus est vierge ?
– Oui Madame, c’est ça, répondis-je, j’ai peur.
– Je vois dit ma chef en collant le gode contre mes fesses, et bien, c’est une chance, tu as l’occasion de m’offrir ta virginité, tu ne veux pas ?
…
Je crois qu’il est nécessaire à ce stade que je revienne quelques semaines en arrière pour éclairer le lecteur.
Je travaille dans un bureau d’études composé de 10 personnes, 8 hommes et 2 femmes, il n’y a pas trop d’ordre, chacun fait un peu ce qu’il veut, du moins c’était le cas jusqu’à présent.
Il y a 3 semaines, le précédent chef a été remercié, et une nouvelle chef de service a été nommée. Sa mission : remettre de l’ordre !
Je n’oublierai jamais le jour où Madame Claire a été présentée à notre équipe.
Elle était vêtue d’une jupe en cuir assez moulante, au-dessus du genou, bas noir, et bottines à lacets avec talons de 10cm. Un pull angora également moulant complétait la tenue. Terriblement sexy ! Mais avec classe, aucune vulgarité. Elle mesurait environ 1m65, 10cm de plus avec ses talons, Elle était mince, d’allure assez sportive, très belle, mais tous les hommes présents n’avaient d’yeux que pour sa poitrine. Deux globes maintenus à l’horizontale comme par magie. D’autres choses commençaient à pointer à l’horizontale dans l’équipe masculine !
Lorsqu’Elle prit la parole, je fus hypnotisé. Une voix sensuelle, suave, si douce… Mais son discours était plutôt ferme. Aucune menace, Elle n’était pas en mode « pouvoir », non, Elle expliquait simplement qu’Elle entendait remettre cette équipe au travail, la manager à Sa manière. Je percevais sa Supériorité, son Autorité, par tous les pores de ma peau. En était-il de même pour mes collègues ?
A la fin de son discours, je remarquai que le lacet de sa bottine était en train de se défaire. Elle capta mon regard, et tout en me fixant, me fit un signe imperceptible du menton. Un ordre on ne peut plus limpide. Je me précipitai à ses pieds et relaçai sa bottine, en prenant soin de faire un nœud solide, mais pas trop serré.
– Bien, j’espère avoir été claire, je Vous verrai chacun individuellement repris la chef pendant que j’étais affairé à ses pieds. Autre chose, précisa-t-Elle, je souhaite être vouvoyée et appelée Madame, Madame Claire éventuellement.
Elle observa le résultat de mon travail sur sa bottine.
– Très bien, j’apprécie ton empressement à me servir, complimenta-t-Elle en me tutoyant ostensiblement.
Inutile de dire que dès que Madame eut tourné les talons, j’essuyai les quolibets de mes collègues masculins… je ne rétorquai rien, planant dans une sorte de bulle protectrice.
Les choses changèrent très rapidement dans le service. Le charisme, et l’Autorité naturelle de Madame Claire faisaient leur effet.
Le matin, j’arrivais toujours avant Elle, je levais son volet et je lui allumais son ordinateur pour que tout soit prêt lorsqu’Elle arrivait au bureau. Dès qu’Elle était là, je lui apportais son café.
En plus de mon travail, j’étais en quelque sorte affecté à son service personnel. Dès qu’Elle voulait quelque chose, que ce soit personnel ou non, Elle faisait appel à moi. Faire des photocopies, aller lui acheter un sandwich, lui porter ses affaires. Cela se faisait très naturellement. Elle me donnait les ordres, je les exécutais, sa Supériorité sur moi et sur tous les autres était pour moi une évidence, et pour Elle aussi, manifestement. Je lui relatais aussi tout ce qui se passait dans le bureau, j’étais ses yeux et ses oreilles. Mes horaires étaient sensiblement modifiés, le matin, j’arrivais tôt pour être là avant Elle, le midi, Elle m’avait interdit de partir en pause sans lui avoir demandé l’autorisation, et le soir aussi. Au cas où Elle aurait besoin de quelque chose…
Il arrivait par exemple qu’Elle sorte de réunion à 13 heures, et qu’Elle m’envoie lui chercher un sandwich. Je m’étais organisé en conséquence, j’apportais désormais mon repas au travail.
Les deux filles du service étaient Alicia et Rachel.
Rachel était une femme d’environ 44 ans, sérieuse expérimentée, elle et moi étions les deux plus anciens du bureau d’études, et pouvions prétendre prendre des responsabilités. En effet, Madame avait laissé entendre qu’Elle allait procéder à une réorganisation, et nommer deux responsables de projet pour la seconder.
Alicia était beaucoup plus jeune, 29 ans. J’appréciais de travailler avec elle, c’était une fille très intelligente, fonceuse, un brin autoritaire, ce qui ne me dérangeait pas.
Vint le jour de la réorganisation, Madame convoqua l’équipe au complet. Rachel et moi étions impatients. Elle prit la parole.
– Bonjour, comme je vous l’avais indiqué, j’ai décidé de réorganiser le service, je ne peux pas piloter 10 personnes en direct, c’est inefficace, c’est pourquoi je vais nommer 2 responsables de projet, qui me reporteront directement, et les autres personnes seront affectées à ces responsables. J’entends qu’ils leur obéissent comme à moi-même, j’espère être assez claire… Bien, les 2 personnes concernées sont déjà au courant, veuillez venir près de moi je vous prie.
Hein ? Les 2 personnes sont au courant, comment ça ? Madame Claire ne m’a rien dit !
Rachel et Alicia vinrent se poster à côté de Madame Claire. J’étais décontenancé, abasourdi, moi qui passais mon temps à servir Madame Claire de mon mieux !
Je fus affecté au groupe d’Alicia, qui devenait donc ma chef directe.
Alicia organisa tout de suite une réunion avec les 4 hommes qui constituaient son équipe. Elle expliqua les objectifs, sa méthode, rien de très nouveau, mais on sentait l’Autorité pointer le bout de son nez chez la jeune chef. Elle était à bonne école.
J’étais désorienté, je décidais de demander un entretien à Madame Claire.
– Je te convoquerai cet après-midi fut sa réponse.
L’après-midi, en effet, je fus convoqué, mais ce n’était pas vraiment l’entretien auquel je m’attendais. Madame m’appela vers 15 heures :
– Nico, nous sommes en réunion, apporte nous 3 cafés, sur un plateau, avec du sucre et des gâteaux.
Sans autre commentaire… Je préparai un plateau avec les ingrédients demandés et me présentais dans le bureau de Madame.
Madame Claire était attablée avec Alicia et Rachel.
– Pose le plateau et sers nous ordonna Madame Claire.
Je m’exécutais, mortifié, puis j’attendais, ne sachant trop que faire.
– Eh bien, tu comptes rester là, tu n’as pas de travail, tu peux disposer, mais reste à disposition, ta nouvelle chef t’appellera pour venir débarrasser !
Madame ne comptait même plus me donner les ordres Elle-même… je retournais à mon bureau totalement déconfit.
Environ ¼ d’heure plus tard, le téléphone sonna. C’était Alicia.
– Nico, tu peux venir débarrasser ordonna-t-elle.
…
Le soir, je demandais comme d’habitude la permission de partir à Madame Claire.
– Tu passeras d’abord dans mon bureau dit-Elle.
Quel ordre délicieux, le meilleur de la journée, Madame Claire ne me rejetait pas, Elle me convoquait ! J’allais enfin pouvoir m’exprimer, cette organisation était injuste, Madame Claire avait sûrement ressenti mon trouble, et Elle voulait qu’on en parle ensemble …
Fin de la 1ère partie.
J’entrais dans le bureau de Madame Claire, décidé à faire valoir mes droits.
Je fus accueilli par une gifle magistrale.
– Tu contestes mon autorité maintenant, je suis très déçue tonna Madame.
– Euh non, pas du tout, je Vous obéis dis-je penaud.
– J’ai bien vu ta réticence, tu freines des 4 fers alors que tu devrais soutenir mes décisions, être dévoué, être mon ambassadeur.
– Oui Madame répondis-je faiblement.
– Je ne sais pas quoi faire de toi, poursuivit Madame implacablement, à quoi bon te garder si je ne peux pas compter sur ta fidélité ?
Pardon ? Madame menaçait de se séparer de moi, de me licencier ? Trouver un autre travail, c’était possible, mais une autre chef comme Elle, ça non, je n’en trouverai pas d’autre !
Je me jetais à ses pieds
– Pitié Madame, je Vous en supplie, j’ai été surpris par Votre décision, c’est pourquoi j’ai mal réagi. Accordez moi une chance.
Madame Claire recula vers son bureau, me laissant agenouillé au milieu de la pièce.
– Hum, nous allons voir si tu es vraiment sincère, tu mérites une bonne leçon, déshabille toi ! ordonna-t-Elle, et viens à ma botte !
Je me mis nu et revins me prosterner aux pieds de Madame Claire, la bouche contre la pointe de sa bottine.
– Ce n’est pas facile en tant que Femme de s’imposer dans un milieu d’hommes, reprit Madame, je pensais que tu l’avais compris et que je pouvais compter sur ton dévouement, au lieu de ça, tu contestes, tu mènes la rebellion, à quoi me sers tu ?
Je restais muet, totalement abattu.
– Je t’écoute, je te laisse une chance de me convaincre ajouta Madame.
– Madame, me lançai-je, la bouche contre sa bottine, j’ai mal réagi, car j’ai été surpis, je pensais que je serai nommé, et Vous avez nommé Alicia à ma place.
– Elle le mérite dit Madame Claire en plaçant sa botte sur mon visage. Tu penses qu’elle ne le mérite pas car c’est une femme ?
– Non pas du tout, elle le mérite, et Votre décision est parfaitement juste, ma réaction est imbécile et purement machiste.
– A la bonne heure dit Madame Claire en imprimant un mouvement de rotation à sa bottine. Et … ?
– Et je Vous demande pardon, très humblement ajoutai-je, Vous m’avez fait confiance, Vous m’avez confié des tâches personnelles, et je Vous ai déçu, j’en suis navré, ne me licenciez pas je Vous en prie Madame, je Vous en supplie, …, Maîtresse.
Madame Claire, tout en m’écoutant, avait mis beaucoup de pression sur sa bottine, elle m’écrasait maintenant très fortement le visage, m’écorchant la joue avec sa semelle en la faisant pivoter. C’était très douloureux, j’avais l’impression que ma figure allait être incrustée dans la moquette.
– Hum, hum, et puis-je te croire Nico demanda-t-Elle ?
– Oui bien sûr, réussis-je à articuler.
– Pourtant tu ne me dis pas tout, fit-Elle, mystérieuse. J’ai demandé un historique de toutes tes navigations sur Internet, asséna-t-Elle, on dirait que tu passes beaucoup de temps sur Facebook pendant les heures de travail…
J’étais accablé. Elle avait aussi découvert ce petit secret, ma crédibilité était sérieusement entamée.
– Oui Madame, c’est vrai, je fais juste un peu de chat…
– Un peu de chat, et avec qui s’enquit-Elle ?
Ca il n’était pas question que je lui dise, l’essentiel de mon activité sur Facebook consistait à rechercher des femmes dominatrices pour discuter avec elles, et parfois pour les rencontrer.
– Ben, rien de spécial, des amis, dis-je
– Hum, hum, reprit-Elle, ce qui était une de ses expressions favorites. Aussi tu ne verras pas d’inconvénient à me donner accès à ton compte, je veux surveiller ce que tu fabriques !
Echec et mat, j’étais piégé.
Madame accentua la pression de sa semelle sur ma joue.
– Eh bien, dois-je engager la procédure de licenciement ? La lettre est prête, et le directeur du personnel ne me refuse rien, on peut même dire qu’il me mange dans la main !
– Non, pitié Maîtresse, je vais Vous donner l’accès.
Madame retira sa botte de ma joue meurtrie.
– Très bien, donne, tout de suite !
Je lui livrai l’accès à mon compte, mail et mot de passe. J’étais terrorisé, Madame avait désormais accès à tout mon jardin secret, ce que personne ne connaissait !
Parfait me dit-Elle, je crois que tu as besoin d’une bonne leçon, regarde dans ce tiroir.
J’ouvris le tiroir, pour y découvrir le fameux godemiché double !
…
– Oui Madame Claire, je veux Vous offrir mon cul vierge répondis-je.
Je ne reçus pas de réponse, mais je sentis une substance froide dans mon anus, madame tenait compte de ma virginité et prenait la peine d’utiliser du lubrifiant.
Dans la foulée, je sentis la poussée de l’énorme sexe contre mon cul. Je sentais mon anus s’ouvrir, s’écarter pour livrer le passage au sexe de Madame. Elle poussait fort et régulièrement. Le sexe noir avançait millimètre après millimètre. Mon anus était forcé, livré à la perversité de ma chef, sans aucune défense. Madame tirait en même temps sur ma laisse, m’obligeant à me cambrer, et remontant mes bras dans le dos. Elle donnait maintenant des à coups, commençant à aller et venir dans mon anus. Je gémissai sous la douleur et l’humiliation. La pénétration de la verge était environ au tiers de sa longueur totale. Madame tirait d’une main sur a laisse, et avait saisit mes couilles dans l’autre main, avec son coprs, Elle donnait des coups de bassin de plus en plus amples et puissants.
– Tu aimes ça mon esclave on dirait commenta-t-Elle.
Je ne pouvais pas nier que je bandais comme un âne.
– Alors, tu réponds exigea-t-Elle en me claquant les fesses
– Oui Madame, j’aime ça, continuez si’il Vous plait.
– Hum, d’accord esclave.
Et Elle redoubla de coups de reins.
Le godemiché était maintenant rentré jusqu’au fond, et Madame me pistonnait sans retenue. Je criai de douleur, mêlé à une nouvelle sensation, le plaisir d’être ainsi pris, violé, humilié…
Au gémissements et au cris que poussait Madame, je la soupçonne d’avoir joui plusieurs fois pendant qu’Elle me défonçait le cul, l’autre partie du godemiché pénétrant son vagin en même temps.
Enfin Elle s’arrêta.
– Nettoie ordonna-t’Elle
Je m’agenouillai devant Elle, devant son sexe, dans la position naturelle de l’esclave, et commençai à lécher le gode pour le nettoyer. Je léchai, suçai, jusqu’à obtenir un nettoyage impeccable.
Ensuite Madame détacha le gode, et extrait la partie qui était dans son vagin.
– Je vais te faire une confidence mon petit Nico, lors de mon premier discours à l’équipe, j’avais ce gode dans ma chatte !
Je restai bouche bée, mais plus encore quand je vis l’état du rosebud. Il était plein de sang, Madame avait ses règles, ça ne l’avait pas dérangé pour me pénétrer sauvagement !
– Maintenant tu vas nettoyer celui-ci dit-Elle avec un sourire sadique.
J’eus un moment d’hésitation.
– Il y a un problème esclave demanda-t-Elle doucement ?
– Non non, répondis-je
Et je commençai à nettoyer le gode plein du sang, et des liqueurs intimes de Madame. Au début, j’avais été un peu dégouté, mais à peine avais-je commencé que je léchai goulument, ne voulant pas perdre la moindre miette de ce divin mélange.
– Bon travail Nico, c’est bien propre, je crois que je ne vais pas te licencier finalement, tu peux rendre des services conclut Madame avec le sourire.
J’étais détendu, j’appartenais à Madame, il n’était plus question qu’Elle me congédie, j’avais passé les épreuves avec succès.
– Il faut que j’aille aux toilettes d’urgence dit-Elle en se levant, range moi tout ça !
– Je crois qu’il y a une coupure d’eau, Madame, vous n’avez pas été prévenue ?
– Si peut-être, crois tu que je n’aie que cela à me préoccuper ? Bon où faut-il aller demanda-t-Elle contrariée.
– La seule solution c’est le café en face dis-je avec précaution.
Madame sembla décontenancée, mais juste l’espase d’un instant.
– La seule solution, vraiment dit-Elle avec un sourire que je connaissais, crois-tu que je vais aller courir au café pour faire pipi ?
– Ben, je ne vois pas où sinon…
– Couché, sur le dos ! m’interrompit-Elle.
Je m’exécutai.
Madame plaça ses peids de part et d’autre de ma tête, et s’accroupit pour présenter son vagin juste au dessus de ma bouche.
– Ouvre la bouche ! ordonna-t-Elle.
J’eus à peine le temps d’ouvrir la bouche, je vis les muscles du vagin de Madame se contracter, puis un jet d’urine m’atterit directement dans la bouche, il était mêlé de caillots de sang. J’avalais tout.
Une fois terminé, Madame posa son sexe sur ma bouche.
– Essuie, chien !
J’essuyais, et il me sembla que Madame restait en position un peu plus longtemps que nécessaire. C’est ce que j’étais, son chien, son esclave, et j’en étais particulièrement fier, j’étais à Elle, j’étais heureux…
Mais soudain une inquiétude traversa mon esprit, mon compte Facebook !
Il fallait impérativement que je fasse du ménage avant que Madame Claire ne se connecte dessus, sinon mes ennuis seraint loin d’être terminés.
Je me levai avec difficulté, et je commençai à me rhabiller.
Mais du coin de l’œil je vis qu Madame Claire était déjà sur son ordi.
– Voyons voir ton compte Facebook maintenant Nico, je suis curieuse de voir ce que tu fabriques…
Fin
nico_conteur
Très beau texte
J’adore ce texte ! Magnifique cette femme qui à sa manière, apprécie l’empressement de cet homme soumi et intelligent, à servir sa maîtresse.